Décision 19780

Numéro Prestataire Juge Langue Date de décision
Décision 19780   MacKay  Anglais 1991-06-06

Décision En Appel Appelant Jugement correspondant
Dismissed  Non N/A  -

Litiges: Sous-Litiges 1: Sous-Litiges 2: Sous-Litiges 3:
arrêt de rémunération  congé compensatoire 

Sommaire:

Le prestataire occupait un poste d'électricien dans le Nord canadien. Les employés permanents du chantier avaient un régime comportant neuf semaines de travail, suivies de trois semaines de congé. Le prestataire partageait son poste avec un autre travailleur. Il travaillait neuf semaines et prenait ensuite neuf semaines de congé. A prétendu que trois des neuf semaines étaient visées par le par. 10(4). (p.7-9) Il ressort du raisonnement du conseil arbitral qu'il faut trouver dans le contrat une preuve de ce que la période de relâche visée au par. 10(4) est prévue parce que l'intéressé a travaillé un nombre d'heures supérieur à celui que compte habituellement une semaine de travail. Erreur de droit. La pratique est pertinente. (p._8)


Litiges: Sous-Litiges 1: Sous-Litiges 2: Sous-Litiges 3:
disponibilité  incompatibilités  partage des tâches 

Sommaire:

Électricien qui partage son poste : neuf semaines de travail, suivies de neuf semaines de congé. Sa sitution est analogue à celle d'un enseignant qui cherche du travail pendant une période de congé. Il doit chercher activement un emploi qu'il pourrait, selon toute vraisemblance, accepter : un emploi temporaire. (p._10) Électricien qui partage son poste : neuf semaines de travail, suivies de neuf semaines de congé. Vu la nature temporaire des restrictions que le prestataire s'est imposées, l'inadmissibilité est justifiée lorsqu'il n'existe à peu près aucune possibilité d'emploi. (p._11)


Litiges: Sous-Litiges 1: Sous-Litiges 2: Sous-Litiges 3:
milieu scolaire  disponibilité  vacances d'été 

Sommaire:

Électricien qui partage son poste : neuf semaines de travail, suivies de neuf semaines de congé. Sa sitution est analogue à celle d'un enseignant qui cherche du travail pendant une période de congé. Il doit chercher activement un emploi qu'il pourrait, selon toute vraisemblance, accepter : un emploi temporaire. (p._10)


Litiges: Sous-Litiges 1: Sous-Litiges 2: Sous-Litiges 3:
conseil arbitral  erreurs de droit  emploi erroné d'un texte 

Sommaire:

Il ressort du raisonnement du conseil arbitral qu'il faut trouver dans le contrat une preuve de ce que la période de relâche visée au par. 10(4) est prévue parce que l'intéressé a travaillé un nombre d'heures supérieur à celui que compte habituellement une semaine de travail. Erreur de droit. La pratique est pertinente. (p._8)


Litiges: Sous-Litiges 1: Sous-Litiges 2: Sous-Litiges 3:
juge-arbitre  motifs d'appel  conclusion arbitraire  sens 

Sommaire:

Électricien qui partage son poste : neuf semaines de travail, suivies de neuf semaines de congé. Il a affirmé qu'il n'a pas cherché d'emploi. Par conséquent, la conclusion implicite du conseil arbitral, selon laquelle le prestataire avait prouvé sa disponibilité, est arbitraire et devrait être infirmée. (p._11)


Date de modification :