Décision 14550

Numéro Prestataire Juge Langue Date de décision
Décision 14550   Walsh  Anglais 1987-12-09

Décision En Appel Appelant Jugement correspondant
Dismissed  Non N/A  -

Litiges: Sous-Litiges 1: Sous-Litiges 2: Sous-Litiges 3:
conseil arbitral  pouvoirs  précédents 

Sommaire:

Naturellement une décision du conseil dans une autre affaire n'est pas exécutoire pour un juge-arbitre ni ne constitue même une jurisprudence.


Litiges: Sous-Litiges 1: Sous-Litiges 2: Sous-Litiges 3:
disponibilité  cours  valeur d'une déclaration 

Sommaire:

Bien qu'il affirme être prêt à ne plus suivre le cours, cela semble plutôt improbable. En effet, vu le stade avancé de sa préparation de carrière d'avocat, il faudrait qu'on lui offre un emploi exceptionnel pour qu'il renonce à ses intentions.


Litiges: Sous-Litiges 1: Sous-Litiges 2: Sous-Litiges 3:
disponibilité  cours  études-travail en tant qu'exigence 

Sommaire:

La jurisprudence établit clairement qu'un étudiant à plein temps est considéré comme non disponible, les deux exceptions étant l'orientation par la Commission et des antécédents d'emploi pendant des études à plein temps.


Litiges: Sous-Litiges 1: Sous-Litiges 2: Sous-Litiges 3:
juge-arbitre  pouvoirs  précédents 

Sommaire:

Naturellement une décision du conseil dans une autre affaire n'est pas exécutoire pour un juge-arbitre ni ne constitue même une jurisprudence.


Litiges: Sous-Litiges 1: Sous-Litiges 2: Sous-Litiges 3:
conseil arbitral  erreurs de droit  appliquer la jurisprudence 

Sommaire:

Il a été maintenu dans bon nombre de décisions que les prestations d'a-c ne visent pas à subventionner un prestataire afin qu'il poursuive des études. Autoriser un prestataire à recevoir des prestations pour suivre un cours difficile et exigeant serait contraire à la jurisprudence et constituerait une erreur de droit.


Litiges: Sous-Litiges 1: Sous-Litiges 2: Sous-Litiges 3:
conseil arbitral  erreurs de droit  suivre des cours 

Sommaire:

Il a été maintenu dans bon nombre de décisions que les prestations d'a-c ne visent pas à subventionner un prestataire afin qu'il poursuive des études. Autoriser un prestataire à recevoir des prestations pour suivre un cours difficile et exigeant serait contraire à la jurisprudence et constituerait une erreur de droit.


Date de modification :