Litiges: |
Sous-Litiges 1: |
Sous-Litiges 2: |
Sous-Litiges 3: |
inconduite |
langage abusif |
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Sommaire:
Le prestataire avait été congédié parce que celui-ci s'était montré grossier envers son supérieur. Le prestataire avait déjà reçu deux avertissements pour avoir proféré des injures ou avoir eu un comportement agressif. L'employeur a fourni copie des avertissements en question. Le prestataire a nié les allégations de l'employeur. Il a déclaré que les avertissements que l'employeur avait produits ne prouvaient rien. Selon lui, il n'a fait que de poser des questions, ce qu'il ne considère pas comme un comportement agressif pouvant être assimilé à de l'inconduite. Il a laissé entendre que c'était l'employeur qui était en faute parce qu'il tentait de museler les employés qui posaient des questions sur les conditions de travail. Le conseil a relevé que le prestataire avait admis connaître l'existence de la Politique contre la violence au travail. Il a conclu que l'agressivité persistante du prestataire au travail, même après qu'il eut reçu des avertissements, constituait de l'inconduite. L'appel du prestataire est rejeté par le J.A.
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Sous-Litiges 1: |
Sous-Litiges 2: |
Sous-Litiges 3: |
inconduite |
insubordination |
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Sommaire:
Le prestataire avait été congédié parce que celui-ci s'était montré grossier envers son supérieur. Le prestataire avait déjà reçu deux avertissements pour avoir proféré des injures ou avoir eu un comportement agressif. L'employeur a fourni copie des avertissements en question. Le prestataire a nié les allégations de l'employeur. Il a déclaré que les avertissements que l'employeur avait produits ne prouvaient rien. Selon lui, il n'a fait que de poser des questions, ce qu'il ne considère pas comme un comportement agressif pouvant être assimilé à de l'inconduite. Il a laissé entendre que c'était l'employeur qui était en faute parce qu'il tentait de museler les employés qui posaient des questions sur les conditions de travail. Le conseil a relevé que le prestataire avait admis connaître l'existence de la Politique contre la violence au travail. Il a conclu que l'agressivité persistante du prestataire au travail, même après qu'il eut reçu des avertissements, constituait de l'inconduite. L'appel du prestataire est rejeté par le J.A.